M. Soumaré présentait une communication axée sur le thème « Politique publique d’intelligence économique » dans le cadre des rencontres mensuelles de CANE Executive dénommée « Les samedis de l’intelligence économique ».
« Dans le cadre hautement concurrentiel de mondialisation, avance-t-il, la stratégie d’’intelligence économique est considérée dans les principaux pays du monde comme le meilleur concept et outil existant pour identifier les réponses de la mondialisation des marchés, des échanges et de les mettre en œuvre avec succès ». partant de là, il affirme que l’intelligence économique et développement doit être considérée comme la capacité à comprendre les rapports de forces existants et à mobiliser des savoirs et compétences comme source d’avantages stratégique dans une dynamique de réseaux d’innovation et d’intelligence.
Cependant, cet expert a déploré trois faiblesses qui caractérisent le sous-développement des pays africains. Il s’agit du déficit de l’industrie de la connaissance et des réseaux d’information, du manque d’organisation, de suivi et évaluation des capacités d’intelligence économique, sociale et technologique et enfin de la coopération et l’acquisition de l’information et de la connaissance stratégique au-delà des frontières africaines.
De l’avis de M. Soumaré un dispositif d’intelligence économique doit absolument apporter des connaissances stratégiques adaptées à la mondialisation et utiles aux stratégies de développement de nos pays. Ce dispositif doit aussi, à ses yeux, développer des enseignements pour accroitre les capacités collectives d’interprétation et de compréhension de l’environnement. M. Soumaré n’a pas occulter les actions d’influences qui repose sur la mise en œuvre de stratégies de promotion du modèle culturel, économique, politique et social d’une nation ou d’un ensemble de nations.
El Hadj Diakhaté
« Dans le cadre hautement concurrentiel de mondialisation, avance-t-il, la stratégie d’’intelligence économique est considérée dans les principaux pays du monde comme le meilleur concept et outil existant pour identifier les réponses de la mondialisation des marchés, des échanges et de les mettre en œuvre avec succès ». partant de là, il affirme que l’intelligence économique et développement doit être considérée comme la capacité à comprendre les rapports de forces existants et à mobiliser des savoirs et compétences comme source d’avantages stratégique dans une dynamique de réseaux d’innovation et d’intelligence.
Cependant, cet expert a déploré trois faiblesses qui caractérisent le sous-développement des pays africains. Il s’agit du déficit de l’industrie de la connaissance et des réseaux d’information, du manque d’organisation, de suivi et évaluation des capacités d’intelligence économique, sociale et technologique et enfin de la coopération et l’acquisition de l’information et de la connaissance stratégique au-delà des frontières africaines.
De l’avis de M. Soumaré un dispositif d’intelligence économique doit absolument apporter des connaissances stratégiques adaptées à la mondialisation et utiles aux stratégies de développement de nos pays. Ce dispositif doit aussi, à ses yeux, développer des enseignements pour accroitre les capacités collectives d’interprétation et de compréhension de l’environnement. M. Soumaré n’a pas occulter les actions d’influences qui repose sur la mise en œuvre de stratégies de promotion du modèle culturel, économique, politique et social d’une nation ou d’un ensemble de nations.
El Hadj Diakhaté
