Selon l’ancien ministre des Affaires Etrangères, le choix porté sur la région de Matam pour l’organisation du troisième atelier de dissémination décentralisé s’explique par un certain nombre de facteurs.
Par exemple, et selon un Rapport 2013 de la Direction des Mines et de la Géologie, c’est dans cette région du Nord que se situent les plus grands gisements de phosphates du pays avec des réserves prouvées, d’une très grande qualité, évaluées à 40 millions de tonnes métriques et des réserves estimées à 100 millions de tonnes métriques.
En attendant, ajoute-t-il, le passage éventuel à la phase exploitation des entreprises aujourd’hui en phase exploration, la SOMIVA (Société Minière de la Vallée) détient l’unique concession minière de la région. La contribution de la SOMIVA s’élève à 1 milliard 42 millions pour l’année 2015, et à 1 milliard 386 millions pour l’année 2016.
«Au vu des perspectives de développement du secteur extractif qui s’offrent à celle belle Région de Matam, les pouvoirs publics et les agences de développement doivent appuyer davantage les entreprises locales dans le but de leur permettre de bénéficier plus d’opportunités», indique-t-il.
Aussi, poursuit-il, le dialogue entre les entreprises et les communautés devraient être pérennisés pour une meilleure prise en compte des préoccupations environnementales souvent invoquées par ces dernières.
Il s’y ajoute que le développement local articulé avec l’impact des industries extractives dans la vie des populations reste un défi. Les citoyens établis dans les régions minières fondent beaucoup d’espoirs sur les retombées de l’exploitation minière en termes de contenu local et de formation.
« Je ne saurais terminer mon propos sans pour autant réitérer mon appel à l’endroit de la société civile et des communautés à s’approprier davantage l’outil ITIE, et remercier toutes les parties prenantes ainsi que nos partenaires, en particulier la Fondation OSIWA, qui n’ont ménagé aucun effort pour la réussite de cette activité à Matam», fait-il savoir.
MankeurNdiaye s’est aussi réjoui de la mise en place d’un cadre de partenariat entre l’ITIE, la Direction en charge de la promotion de la Bonne Gouvernance, la Coalition Publiez Ce Que Vous Payez, l’ONG3D et le CONGAD dont le but est de garantir aux citoyens, un accès démocratique aux informations relatives à la gouvernance du secteur extractif et à la transparence budgétaire.
Pathé TOURE
Par exemple, et selon un Rapport 2013 de la Direction des Mines et de la Géologie, c’est dans cette région du Nord que se situent les plus grands gisements de phosphates du pays avec des réserves prouvées, d’une très grande qualité, évaluées à 40 millions de tonnes métriques et des réserves estimées à 100 millions de tonnes métriques.
En attendant, ajoute-t-il, le passage éventuel à la phase exploitation des entreprises aujourd’hui en phase exploration, la SOMIVA (Société Minière de la Vallée) détient l’unique concession minière de la région. La contribution de la SOMIVA s’élève à 1 milliard 42 millions pour l’année 2015, et à 1 milliard 386 millions pour l’année 2016.
«Au vu des perspectives de développement du secteur extractif qui s’offrent à celle belle Région de Matam, les pouvoirs publics et les agences de développement doivent appuyer davantage les entreprises locales dans le but de leur permettre de bénéficier plus d’opportunités», indique-t-il.
Aussi, poursuit-il, le dialogue entre les entreprises et les communautés devraient être pérennisés pour une meilleure prise en compte des préoccupations environnementales souvent invoquées par ces dernières.
Il s’y ajoute que le développement local articulé avec l’impact des industries extractives dans la vie des populations reste un défi. Les citoyens établis dans les régions minières fondent beaucoup d’espoirs sur les retombées de l’exploitation minière en termes de contenu local et de formation.
« Je ne saurais terminer mon propos sans pour autant réitérer mon appel à l’endroit de la société civile et des communautés à s’approprier davantage l’outil ITIE, et remercier toutes les parties prenantes ainsi que nos partenaires, en particulier la Fondation OSIWA, qui n’ont ménagé aucun effort pour la réussite de cette activité à Matam», fait-il savoir.
MankeurNdiaye s’est aussi réjoui de la mise en place d’un cadre de partenariat entre l’ITIE, la Direction en charge de la promotion de la Bonne Gouvernance, la Coalition Publiez Ce Que Vous Payez, l’ONG3D et le CONGAD dont le but est de garantir aux citoyens, un accès démocratique aux informations relatives à la gouvernance du secteur extractif et à la transparence budgétaire.
Pathé TOURE
