Selon les responsables de Bloomfields, cette notation se justifie par la qualité de crédit élevée sans compter les facteurs de protection qui sont bons. « Cependant, soutiennent-ils, les facteurs de risques sont plus variables et plus importants en période de pression économique ».
Sur le Court terme Bloomfieds a confirmé la note A1 avec une perspective stable qui avait été décerné précédemment à PALMCI. Elle a basé cette note sur la certitude de remboursement en temps opportun élevée. « Les facteurs de liquidité sont forts et soutenus par de bons facteurs de protection des éléments essentiels », soulignent les responsables de l’agence de notation, non sans relever que les facteurs de risque sont très faibles.
L’équipe de notation a relevé un certain nombre de facteurs clés de performance de PALMCI. C’est le cas notamment de la politique commerciale plus agressive face à la concurrence et une volonté d’améliorer les standards de production, un renforcement de la gouvernance d’entreprise, soutenu par un actionnariat engagé et un plan d’optimisation des coûts efficace. Toutefois, des facteurs sont jugés négatifs comme le niveau d’activité qui est tributaire des cours mondiaux d’huile de palme, du cadre réglementaire à réformer ou encore de la trésorerie d’exploitation de plus en plus faible.
PALMCI a réalisé au 31 décembre 2014 un bénéfice net après impôts de 10,005 milliards FCFA contre 11,035 milliards FCFA en 2013. La même tendance à la baisse est perceptible au niveau du chiffre d’affaires qui se situe à 128,585 milliards FCFA en 2014 contre 131,280 milliards FCFA en 2013. Cependant l’endettement financier brut (hors provision financière pour risques et charges) s’est creusé, passant de 32,363 milliards FCFA en 2013 à 48,
El Hadj Diakhaté
Sur le Court terme Bloomfieds a confirmé la note A1 avec une perspective stable qui avait été décerné précédemment à PALMCI. Elle a basé cette note sur la certitude de remboursement en temps opportun élevée. « Les facteurs de liquidité sont forts et soutenus par de bons facteurs de protection des éléments essentiels », soulignent les responsables de l’agence de notation, non sans relever que les facteurs de risque sont très faibles.
L’équipe de notation a relevé un certain nombre de facteurs clés de performance de PALMCI. C’est le cas notamment de la politique commerciale plus agressive face à la concurrence et une volonté d’améliorer les standards de production, un renforcement de la gouvernance d’entreprise, soutenu par un actionnariat engagé et un plan d’optimisation des coûts efficace. Toutefois, des facteurs sont jugés négatifs comme le niveau d’activité qui est tributaire des cours mondiaux d’huile de palme, du cadre réglementaire à réformer ou encore de la trésorerie d’exploitation de plus en plus faible.
PALMCI a réalisé au 31 décembre 2014 un bénéfice net après impôts de 10,005 milliards FCFA contre 11,035 milliards FCFA en 2013. La même tendance à la baisse est perceptible au niveau du chiffre d’affaires qui se situe à 128,585 milliards FCFA en 2014 contre 131,280 milliards FCFA en 2013. Cependant l’endettement financier brut (hors provision financière pour risques et charges) s’est creusé, passant de 32,363 milliards FCFA en 2013 à 48,
El Hadj Diakhaté