Selon un communiqué de presse, la cérémonie s’est déroulée en présencende Mme Rose Kayi Mivedor, ministre de la Promotion de l’investissement de la République togolaise. Avec la participation de Mme Victoire Tomegah Dogbe, Premier ministre de la République togolaise, et marraine du programme.
«Reprenant le nom de la fondatrice du peuple Mossi dans l’actuel Burkina Faso, le programme certifiant de formation « Yennenga » répond à l’ambition de renforcement du capital humain énoncée dans le plan stratégique 2021-2025 dénommé plan Djoliba de la Boad et permettra de former une vingtaine de femmes par an, pendant trois ans », lit-on dans le communiqué.
Il s’inscrit également dans le plan Rse de l’institution, et traduit la vision de Serge Ekue, président de la Banque : «On ne peut pas viser l’intégration économique de notre région et le développement équilibré de nos pays membres en laissant de côté la moitié de leur population. Il ne s’agit pas de donner une place aux femmes, mais bien de leur rendre leur juste place, c’est-à-dire celle au cœur des organes de gouvernance ». À la Boad, a-t-il dit, nous sommes convaincus que renforcer la présence des femmes aux postes de responsabilité constitue un facteur de performance. «Le programme Yennenga va dans le sens de cette démarche résolument volontariste à l’endroit des femmes et des jeunes : je me réjouis de pouvoir lancer officiellement ce programme avec l’école de management Hec Paris », a ajouté le
président de la Boad.
Anne-Valérie Corboz, professeure et doyenne associée de l’Executive Education souligne pour sa part l’importance qu’accorde Hec Paris à l’autonomisation de la femme : « Représentant plus de la moitié du continent africain, les femmes sont pourtant encore trop peu incluses (les chiffres variant selon les régions et entre pays) dans les circuits économiques alors qu’elles représentent un fort potentiel de croissance. Encourager le leadership féminin est l’un des leitmotivs de Hec Paris, pour qui l’autonomisation de la femme serait un réel atout de la croissance africaine et l’entreprenariat des femmes une priorité pour Hec Paris »_.
«Reprenant le nom de la fondatrice du peuple Mossi dans l’actuel Burkina Faso, le programme certifiant de formation « Yennenga » répond à l’ambition de renforcement du capital humain énoncée dans le plan stratégique 2021-2025 dénommé plan Djoliba de la Boad et permettra de former une vingtaine de femmes par an, pendant trois ans », lit-on dans le communiqué.
Il s’inscrit également dans le plan Rse de l’institution, et traduit la vision de Serge Ekue, président de la Banque : «On ne peut pas viser l’intégration économique de notre région et le développement équilibré de nos pays membres en laissant de côté la moitié de leur population. Il ne s’agit pas de donner une place aux femmes, mais bien de leur rendre leur juste place, c’est-à-dire celle au cœur des organes de gouvernance ». À la Boad, a-t-il dit, nous sommes convaincus que renforcer la présence des femmes aux postes de responsabilité constitue un facteur de performance. «Le programme Yennenga va dans le sens de cette démarche résolument volontariste à l’endroit des femmes et des jeunes : je me réjouis de pouvoir lancer officiellement ce programme avec l’école de management Hec Paris », a ajouté le
président de la Boad.
Anne-Valérie Corboz, professeure et doyenne associée de l’Executive Education souligne pour sa part l’importance qu’accorde Hec Paris à l’autonomisation de la femme : « Représentant plus de la moitié du continent africain, les femmes sont pourtant encore trop peu incluses (les chiffres variant selon les régions et entre pays) dans les circuits économiques alors qu’elles représentent un fort potentiel de croissance. Encourager le leadership féminin est l’un des leitmotivs de Hec Paris, pour qui l’autonomisation de la femme serait un réel atout de la croissance africaine et l’entreprenariat des femmes une priorité pour Hec Paris »_.