Selon le Rapport sur les conditions de Banque dans l’’UEMOA, il est en hausse dans tous les pays de l’Union, sauf au Bénin et au Burkina. Les augmentations les plus significatives ont été relevées en Guinée Bissau (+64,7%) et au Niger (+33,7%), principalement du fait d’effets de base. La hausse des crédits apparaît également importante en Côte d’Ivoire (+26,9%), au Togo (+24,9%) et au Mali (+23,9%). Par contre, au Burkina et au Bénin, les crédits mis en place ont diminué, respectivement de 7,68% et 14,2%.
A l’échelle de l’UEMOA, note la même source, l’augmentation du volume des crédits est globalement observée pour l’ensemble des catégories de clients. Elle est plus importante pour les Organismes assimilés à l’Etat (+69,4%) et les Entreprises privées du secteur productif (+13,6%). Elle apparaît par contre limitée pour les Particuliers (+5,0%). Au Burkina, au Bénin et au Niger, il est remarqué une diminution significative des crédits mis en place au profit des Particuliers. Entre 2010 et 2015, la répartition des crédits par catégorie de clients a été légèrement modifiée.
La part des crédits octroyés aux ménages (Particuliers et Entreprises individuelles) a connu une baisse, passant de 31,7% en 2010 à 26,7% en 2015. Ce recul de la part des particuliers reflète la progression limitée, voire la diminution dans certains pays, des crédits destinés à cette catégorie de clientèle, au cours des trois dernières années. Quant aux entreprises, leur part dans le total des crédits mis en place est passée de 59,9% en 2010 à 64,3% en 2015.
Pathé TOURE
A l’échelle de l’UEMOA, note la même source, l’augmentation du volume des crédits est globalement observée pour l’ensemble des catégories de clients. Elle est plus importante pour les Organismes assimilés à l’Etat (+69,4%) et les Entreprises privées du secteur productif (+13,6%). Elle apparaît par contre limitée pour les Particuliers (+5,0%). Au Burkina, au Bénin et au Niger, il est remarqué une diminution significative des crédits mis en place au profit des Particuliers. Entre 2010 et 2015, la répartition des crédits par catégorie de clients a été légèrement modifiée.
La part des crédits octroyés aux ménages (Particuliers et Entreprises individuelles) a connu une baisse, passant de 31,7% en 2010 à 26,7% en 2015. Ce recul de la part des particuliers reflète la progression limitée, voire la diminution dans certains pays, des crédits destinés à cette catégorie de clientèle, au cours des trois dernières années. Quant aux entreprises, leur part dans le total des crédits mis en place est passée de 59,9% en 2010 à 64,3% en 2015.
Pathé TOURE