Cette balance des paiements qui résume les transactions entre résidents et non-résidents durant une période donnée, était excédentaire de 41,570 milliards FCFA en 2013. Selon l’institut d’émission, « cette évolution résulte d’une sortie nette de 174,055 milliards FCFA du solde du compte financier, atténuée par une amélioration de 54,369 milliards du déficit courant et d’une hausse de 1,930 milliards de l’excédent du compte de capital ».
Le déficit hors dons publics rapporté au produit intérieur brut (PIB) s’établi à 11,9% contre 15,7% en 2013, en liaison notamment avec des améliorations des soldes des services, des revenues primaires et, surtout, des revenus secondaires.
Le déficit structurel du solde des transactions courantes s’est, quant à lui, amélioré, en passant de 280,741 milliards FCFA en 2013 à 226,373 milliards FCFA en 2014, en dépit de la dégradation de 1,9% de la balance commerciale.
Quant au compte de capital, il dégage un solde excédentaire de 157,538 milliards FCFA contre 155,608 milliards FCFA en 2013 (+1,2%), en liaison essentiellement avec la progression des envois de fonds des travailleurs migrants destinés aux investissements. « Ainsi, avance la BCEAO, les échanges avec l’extérieur du Togo se sont soldés en 2014 par un besoin de financement de 68,835 milliards FCFA non couvert par les opérations financières ».
Le compte financier a en effet enregistré en 2014 des sorties nettes de capitaux à hauteur de 9,845 milliards FCFA, contre des entrées nettes de 164,210 milliards FCFA en 2013, en ligne avec l’évolution des investissements directs, atténuée par des opérations sur les autres investissements.
Les transactions extérieures du Togo se sont soldées, durant la période sous revue, par une baisse des avoirs extérieurs nets des institutions monétaires de 76,490 milliards, sous l’effet conjugué des replis respectifs de 63,608 milliards des avoirs extérieurs nets de la BCEAO et 12,882 milliards de ceux des banques de dépôts.
La position extérieure globale nette du Togo a enregistré un repli de 112,998 milliards FCFA avec un solde net de 483,592 milliards contre 596,590 milliards en 2013, en raison principalement de la progression des engagements au titre des autres investissements, en particulier les prêts et les crédits commerciaux.
El Hadj Diakhaté
Le déficit hors dons publics rapporté au produit intérieur brut (PIB) s’établi à 11,9% contre 15,7% en 2013, en liaison notamment avec des améliorations des soldes des services, des revenues primaires et, surtout, des revenus secondaires.
Le déficit structurel du solde des transactions courantes s’est, quant à lui, amélioré, en passant de 280,741 milliards FCFA en 2013 à 226,373 milliards FCFA en 2014, en dépit de la dégradation de 1,9% de la balance commerciale.
Quant au compte de capital, il dégage un solde excédentaire de 157,538 milliards FCFA contre 155,608 milliards FCFA en 2013 (+1,2%), en liaison essentiellement avec la progression des envois de fonds des travailleurs migrants destinés aux investissements. « Ainsi, avance la BCEAO, les échanges avec l’extérieur du Togo se sont soldés en 2014 par un besoin de financement de 68,835 milliards FCFA non couvert par les opérations financières ».
Le compte financier a en effet enregistré en 2014 des sorties nettes de capitaux à hauteur de 9,845 milliards FCFA, contre des entrées nettes de 164,210 milliards FCFA en 2013, en ligne avec l’évolution des investissements directs, atténuée par des opérations sur les autres investissements.
Les transactions extérieures du Togo se sont soldées, durant la période sous revue, par une baisse des avoirs extérieurs nets des institutions monétaires de 76,490 milliards, sous l’effet conjugué des replis respectifs de 63,608 milliards des avoirs extérieurs nets de la BCEAO et 12,882 milliards de ceux des banques de dépôts.
La position extérieure globale nette du Togo a enregistré un repli de 112,998 milliards FCFA avec un solde net de 483,592 milliards contre 596,590 milliards en 2013, en raison principalement de la progression des engagements au titre des autres investissements, en particulier les prêts et les crédits commerciaux.
El Hadj Diakhaté
