Il s’exprimait lors d’un atelier de partage sur la place et le rôle de la presse dans le PSE organisé par la Maison de la presse et la fondation Friedrich Ebert.
Cette concrétisation est matérialisée, d’après Moustapha Bâ par 82 conventions de financement se chiffrant à 1910,3 milliards FCFA sur un engagement global pris lors du groupe consultatif pour le Sénégal en février 2014 à Paris de 3729 milliards FCFA. « Cela montre l’engagement des PTF dans la mise en œuvre du PSE devenu l’unique référentiel du Sénégal en matière de politique économique » a affirmé M. Bâ. Il estime en outre que 30% du financement des PTF sont constitués de dons et 70% de prêts.
De son coté M. Pierre Ndiaye directeur de la planification et des politiques économiques, a mis en exergue un certain nombre de risques auxquels est confronté le PSE. « Ces risques tournent autour de la question de son appropriation par la population, la mise en œuvre des réformes qui le sous-tendent et le contexte international ».
Selon M. Pierre Ndiaye, le fondement de l’émergence du Sénégal à l’horizon 2035 repose sur la maitrise de l’énergie, les infrastructures, l’accès au financement et la réforme de l’environnement des affaires.
Dans ce cadre, ajoute-t-il, le rôle de la presse est de donner suffisamment d’informations sur le PSE permettant son appropriation par la population et les acteurs économiques.
El Hadj Diakhaté
Cette concrétisation est matérialisée, d’après Moustapha Bâ par 82 conventions de financement se chiffrant à 1910,3 milliards FCFA sur un engagement global pris lors du groupe consultatif pour le Sénégal en février 2014 à Paris de 3729 milliards FCFA. « Cela montre l’engagement des PTF dans la mise en œuvre du PSE devenu l’unique référentiel du Sénégal en matière de politique économique » a affirmé M. Bâ. Il estime en outre que 30% du financement des PTF sont constitués de dons et 70% de prêts.
De son coté M. Pierre Ndiaye directeur de la planification et des politiques économiques, a mis en exergue un certain nombre de risques auxquels est confronté le PSE. « Ces risques tournent autour de la question de son appropriation par la population, la mise en œuvre des réformes qui le sous-tendent et le contexte international ».
Selon M. Pierre Ndiaye, le fondement de l’émergence du Sénégal à l’horizon 2035 repose sur la maitrise de l’énergie, les infrastructures, l’accès au financement et la réforme de l’environnement des affaires.
Dans ce cadre, ajoute-t-il, le rôle de la presse est de donner suffisamment d’informations sur le PSE permettant son appropriation par la population et les acteurs économiques.
El Hadj Diakhaté
